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Tai Chi

Dérivé des arts martiaux, le tai-chi est une discipline corporelle qui fait partie des exercices énergétiques de la Médecine traditionnelle chinoise. Dans cette fiche, vous découvrirez plus en détails cette pratique, ses principes, son histoire, ses bienfaits, qui l’enseigne, comment se déroule une séance et quelles sont les principales contre-indications.

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Judo Fit

Tous les samedis de 10h30 à 11h30.

Le JudoFit est d’une efficacité remarquable en ce qui concerne le conditionnement physique général, mêlant travail cardiovasculaire et travail musculaire, les séances sont d’une variété infinie et extrêmement stimulantes.

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Judo

Le judo (柔道, jūdō?, litt. « voie de la souplesse ») a été créé en tant que pédagogie physique, mentale et morale au japon par Jigorō Kanō (嘉納治五郎) en 1882. Il est généralement catégorisé comme un art martial moderne, qui a par la suite évolué en sport de combat et en sport olympique. Sa caractéristique la plus proéminente est son élément compétitif dont l'objectif est soit de projeter, soit d'amener l'adversaire au sol, et de l'immobiliser (Techniques de maîtrise), ou de l'obliger à abandonner à l'aide de clés articulaires et d'étranglements. Les frappes et coups à main nue ainsi que les armes font aussi partie du judo mais seulement sous la forme pré-arrangée (kata (形?)) et ne sont pas autorisés en judo de compétition ni en pratique libre (randori (乱取り?)).

Le lieu où l'on pratique le judo s'appelle le dojo (道場, dōjō?, littéralement lieu d'étude de la voie). Les pratiquants nommés judokas1, portent une tenue en coton renforcée appelée judogi, ou communément « kimono »2 en France (même si le terme kimono en japonais ne correspond pas). Le judogi est généralement blanc, mais pour faciliter la distinction entre les combattants dans les compétitions, un judoka peut avoir un judogi bleu dans les compétitions internationales. Le judo se pratique pieds nus, chez les hommes torse nu sous le judogi et chez les femmes un tee-shirt blanc sous le judogi. Les judokas exercent, à l'entraînement et en compétition, sur un tatami, un tapis raide qui amortit les chocs et délimite une zone de combat en carré à l'aide de tapis de couleurs différentes, dont la surface de combat est de 64 mètres carrés (8 x 8) au minimum et de 100 mètres carrés (10 x 10) au maximum. Le judo est un sport olympique et nécessite de l'implication tant au niveau du combat qu'au niveau des rencontres techniques et de l'aide aux événements pour atteindre un grade élevé.

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Ju Jitsu

Le ju-jitsu, ou jūjutsu ou encore jiu-jitsu (柔術, jūjutsu?, littéralement : « art de la souplesse » ), regroupe des techniques de combat qui furent développées par les samouraïs durant l'époque d'Edo. Elles enseignaient aux samouraïs et aux bushis à se défendre lorsque ceux-ci étaient désarmés lors d'un duel ou sur le champ de bataille.

Yōshin-ryū (楊心流?) est l'une des plus anciennes écoles traditionnelles du Japon, ou Koryū, à avoir enseigné le jūjutsu pendant l'ère Edo.

Ces techniques sont parfois classées en quatre catégories principales : atemi waza (« techniques de frappe »), nage waza (« techniques de projection »), kansetsu- waza (« techniques de luxation ») et ne waza (« travail au sol »)1.

Dans le terme « jū-jutsu », « jū » (柔) signifie « souplesse » et « jutsu » (術) signifie « art ». Il existe diverses transcriptions phonétiques approximatives, ce qui explique les différentes orthographes2. La graphie « ju-jitsu » est la plus utilisée dans la littérature francophone, bien que cela ne corresponde pas à la consonance.

Le terme générique « ju-jutsu » cache une réalité historique bien plus complexe : en effet, il n'a jamais existé une discipline unique et strictement définie correspondant à ce terme, réalité qui correspond au caractère vague de cette désignation « art de la souplesse ». Il s'agissait de la discipline de combat sans armes, partie intégrante du programme enseigné par chacune des nombreuses écoles japonaises (les ryū), qui ont peu à peu périclité à la fin de l'ère féodale.

Ce que l'on appelle couramment ju-jutsu désigne, aujourd'hui, soit un enseignement bien spécifique à une école particulière (il s'agit d'une pratique minoritaire, et dans ce cas, il est précédé du nom de l'école en question), soit un enseignement regroupant des techniques héritées de ces écoles et transmises au début de l'ère moderne voire après la Seconde Guerre mondiale à un plus large public, grâce au travail de recensement et de conservation des techniques commencé dès la fin du xixe siècle.

Au début du xxe siècle, des personnes se sont inquiétées de la disparition de ce savoir, due à la modernisation de l'armée et ont collecté les techniques de différentes écoles (ryū ha) de ju-jutsu pour en faire une pratique moderne, adaptée aux besoins de la nouvelle société ; ainsi, naquirent le judo, dont les composantes viennent en majorité de l'école Kito (Kito-ryū), l'aïkido, émanation plus tardive de l'école Daito (Daito-ryū), ou plus récemment le jiu-jitsu brésilien, né de l'évolution d'une variante de judo (kosen), elle-même instruite par l'école Fusen (Fusen-ryū). Véritable nébuleuse à l'origine de constructions plus ou moins récentes, le ju-jitsu est à juste titre souvent qualifié d'« art père3 ».

Bien que le ju-jutsu ne soit pas à l'origine du karaté, qui est une technique d'origine de l'archipel d'Okinawa, on en retrouve plusieurs similarités avec certaines anciennes formes de combats pratiqués sur les archipels des Ryūkyū. Bien avant l'avènement du tode à Okinawa et dans l'archipel des Ryūkyū, les insulaires pratiquaient déjà une forme de yawara d'où découlent le ju-jutsu et le taijutsu. Le taijutsu et le ju-jutsu de cette époque étaient encore indissociables de cette forme de yawara. Le taijutsu était une méthode de combat jalousement gardée secrète par la famille royale des îles Ryūkyū, les Motobu. C'était une méthode ancienne et incluse dans un style de Ryūkyū Kenpō qui était connue sous le terme Udun Ti. Elle porte aujourd'hui le nom de Motobu Ryū.

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